CHAPITRE IV



DES PROBLÈMES ET DES SOLUTIONS



1 - QUELQUES PARADOXES ÉDIFIANTS


Il est toujours instructif d'examiner de près les arguments dits "de bon sens" : ils conduisent le plus souvent à des conclusions cocasses... ou dangereuses, très rarement à des découvertes profitables à ceux qui souffrent . Voici un premier exemple .

Nous savons tous qu'au fur et à mesure que nous nous élevons dans l'atmosphère, la pression de l'air diminue et avec elle la quantité d'oxygène disponible . Entre 1000 et 1200 mètres d'altitude, cette quantité d'oxygène disponible a diminué d'environ 18 % par rapport au niveau de la mer. En revanche, rappelons-nous que le taux de micro-pollution est très faible, le taux d'ionisation négative très élevé .

Hormis ces trois facteurs, dont le seul à être "officiellement" reconnu est évidemment la pression, les autres facteurs - hygrométrie, température, vent, ensoleillement, etc. ne différent guère en moyenne de ceux que l'on rencontre "en bas".

Un organisme fatigué, déprimé, soumis par les contraintes du milieu urbain à une sous-oxygénation permanente, a impérativement besoin d'un retour périodique à une oxygénation normale . Il pourra même s'avérer nécessaire de lui imposer une oxygénothérapie d'appoint, en enrichissant l'air ordinaire d'un supplément d'oxygène pur. Nul n'aurait l'idée saugrenue de proposer alors un séjour en caisson à dépression, où l'on abaisserait le taux d'oxygène de 15 à 20 % !... en dépit du coût modique d'un tel séjour "en altitude".

Donc le séjour - surtout prolongé - d’un organisme fatigué en moyenne montagne, à une altitude de 1200 à 1500 m, est absolument à proscrire .

En somme, au nom du "bon sens", conforté par les données de la physiologie de la respiration, il semble tout à fait exclu d'observer alors un effet favorable !

Or nous savons tous, pour l'avoir vécu, quel extraordinaire bien-être nous éprouvons enfin dans cet air pourtant "raréfié", mais si pur, si "léger" . Serait-ce donc une simple illusion, un effet "psychique" ? Ce dernier aspect n'est certes pas négligeable, mais son impact éventuel demeure tout à fait marginal . Alors que reste-t-il ? Se pourrait-il par exemple que la pression barométrique ne joue finalement qu'un rôle assez secondaire, les premiers rôles étant alors tenus par... l'ionisation et la quasi-absence de micropollution, seules capables de permettre une excellente oxygénation sous une pression d'air déjà nettement réduite ?

En somme un affreux bon sens aurait déjà dû nous mettre en garde : "A quoi bon avoir beaucoup d'oxygène si l’on ne peut bien l'utiliser ?" Question que les malheureux habitants de ces lieux d'altitude, privés d'air sans paraître en souffrir, pourraient poser aux gens "d'en bas" tellement mieux pourvus !

Mais qui a voulu, dans le monde "d'en bas", en tirer une conclusion et de là une règle de vie ?

Et qui pourra nier qu'il est facile, trop facile, d'absorber un comprimé antidouleur, une gélule de tranquillisant : il suffit de lire une posologie et d'avaler le comprimé ou la gélule, en espérant que le soulagement viendra et que le "remède" trop souvent renouvelé n'entraînera pas un pire mal .

Ceci m'amène au second paradoxe, moins évident sans doute, et qui s'inscrit toujours dans ces marottes de physicien dont je ne parviens pas à me défaire !

L'ionisation de l'atmosphère est connue et étudiée depuis bientôt un siècle, ses effets sur les organismes vivants étudiés et connus depuis plus de soixante ans.

Des milliers de travaux et publications ont éclairé ce sujet, très souvent dus à des hommes de science de renommée mondiale, forts d'une immense expérience .

De ces innombrables travaux ressortent des conclusions expérimentales totalement convergentes, que les faits observés ou vécus n'ont jamais infirmées :

- les ions oxygène négatifs sont toujours présents dans une atmosphère saine, salubre, avec une densité d'autant plus élevée que l'atmosphère est plus pure ;

- aucune expérience n'a jamais pu mettre en évidence le moindre caractère nocif des ions oxygène négatifs, ni sur les animaux ni sur les humains, même aux densités les plus considérables et après des durées se comptant en dizaines d'années ;

- toutes les observations faites sur des sites reconnus exceptionnellement salubres, lieux de "cures" de tous ordres et concernant tout particulièrement les maladies pulmonaires, ont montré la double présence systématique d'une ionisation négative élevée associée à une très faible micropollution locale de l'air ;

- la présence d'un fort excès de gros ions positifs et la disparition corrélative des ions oxygène négatifs survient toujours dans les lieux où règne une micropollution importante ;

- les sujets placés dans une atmosphère à forte surcharge positive (animaux ou humains) manifestent rapidement des troubles ou malaises variés pouvant devenir graves en cas d'exposition prolongée. Le retour à une atmosphère à prédominance négative entraîne la disparition de ces troubles ou malaises et la restauration de l'état de santé ;

- ces troubles et malaises surviennent en nombre croissant chez les personnes que leurs conditions de travail placent dans un environnement où existent une forte micropollution bien identifiée et le déséquilibre électrique de l'air ambiant qui en résulte ;

- ces troubles et malaises sont particulièrement relevés dans les locaux clos munis de systèmes de recyclage de l'air et où fonctionnent de fortes sources d'ions positifs (écrans vidéo en particulier).


Il est donc actuellement permis d'affirmer, non au titre d'une hypothèse gratuite et contestable, mais au vu de faits enregistrés et vérifiés depuis bientôt cent ans, que l'état électrique de l'air dans lequel nous vivons, en étroite relation avec la nature et la quantité d'impuretés qu'il peut contenir, est l'un des facteurs fondamentaux de notre équilibre physiologique et de notre maintien dans un état de santé satisfaisant.


Eh bien, tout se passe comme si cette évidence biologique et les faits physiques indiscutables sur lesquels elle repose étaient considérés comme affabulation ou rêveries de scientifique !

Et pour combattre des effets que nul ne songe évidemment à nier, l'on est sciemment conduit à se ruer sur une chimiothérapie dont personne ne conteste l'utilité, mais qui se trouve tout à fait en porte-à-faux face à des problèmes qu'elle n'a pas vocation ou capacité à résoudre .

Certes, nul ne peut nier qu'en présence de symptômes désagréables ou douloureux, il est souvent urgent et légitime de combattre au plus vite de tels symptômes.

Mais nul ne prétendra non plus que, fort du soulagement immédiat obtenu, on puisse remettre à plus tard le soin de s'occuper éventuellement des causes !

Or, par une étrange perversion, voici que l'on demande à la chimiothérapie de combattre ici uniquement des effets, dus à des causes qui lui sont totalement étrangères et auxquelles elle est totalement inadaptée. La rançon à payer est connue : outre un soulagement précaire, ce sont tous les effets secondaires des médicaments ainsi consommés sans retenue, les immenses gaspillages qu’ils entretiennent....

C'est une attitude, plutôt un abandon, que nous devons et pouvons refuser, car il n'y a dans tout cela nulle fatalité.


Nous avons, je l'espère, bien défini et cerné les causes de nos problèmes. Ainsi qu'il est de règle dans cette nature, un problème correctement posé comporte les éléments de sa solution ; et ce n'est pas seulement vrai des problèmes de mathématiques !...

Il nous reste donc maintenant à effectuer la dernière démarche, entreprendre l'urgente tâche : concevoir puis réaliser la restauration d'un environnement atmosphérique mutilé et retrouver, simplement, ce que la nature n'a jamais cessé de nous offrir sans compter .

Cela fait, nous pourrons enfin ..... respirer !



2 - MICROPOLLUTION, IONISATION, SANTE:

DES IDEES ET UN BILAN


Face aux problèmes graves que pose la micropollution de l'air - pour nous, mais plus encore pour les enfants, particulièrement vulnérables - j'ai dit et je ne cesserai pas de répéter qu'il n'existe ni fatalité de la chose, ni impossibilité de la traiter .

Je vais donc m'efforcer de vous montrer comment un "bon usage" de notions parfois assez abstraites peut conduire heureusement à des solutions tout à fait concrètes et de surcroît très, très efficaces...


Commençons donc par revenir sur ce qui est en somme la cause de tous nos problèmes : les micro-polluants et leur charge le plus souvent positive .

Le tableau N° IX présente sous une forme simple, évidemment très schématique, les mécanismes fondamentaux utilisés par la nature pour éliminer les particules contenues dans l'air, tout au moins lorsque la quantité présente ou injectée ne dépasse pas les possibilités d'élimination spontanée ! La collecte est effectuée par le sol et bien que peu mobiles, les gros ions positifs y terminent leur vie .

Nous avons vu qu'il n'en va malheureusement pas de même à l'intérieur d'un local, quel qu'il soit. Sol et parois isolants, chargés en moyenne positivement, interdisent la capture des gros ions positifs, situation que toutes les mesures confirment .

Regardons maintenant le tableau N° XVI : il nous montre le mécanisme fondamental par lequel une particule neutre ou chargée positivement, peut être affectée par la présence de charges antagonistes, ici négatives .


Injectons donc dans l'atmosphère d'un local micro-pollué une petite quantité d'électrons (en fait ce seront bien entendu des ions (02-) .

Dans un premier temps, les gros ions positifs (peu mobiles) vont attirer vers eux les ions négatifs très mobiles et être ainsi transformés en particules neutres. C'est un premier résultat encourageant car l'effet nocif propre à la charge positive sera déjà plus ou moins atténué .

C'est malheureusement très insuffisant pour deux raisons au moins : ,

- les micro-polluants demeurent dans l'atmosphère du fait des propriétés rappelées au chapitre premier,

- ces mêmes micro-polluants restent capables d'acquérir une nouvelle charge positive, créée par les sources ambiantes (souvenez-vous du radon en particulier ).


Si donc la quantité d'ions négatifs injectée est faible, nous n'aurons obtenu qu'un résultat médiocre et en particulier nous n'aurons éliminé ni les particules responsables d'allergies ni les germes infectieux . Autant dire que cette forme "d'aéro-ionisation" est quasi inutile et qu'elle entretient la dangereuse illusion d'un "assainissement" presque inexistant en fait .

Totalement inapte à assurer une dépollution réelle et permanente, elle conduira son utilisateur à ne plus éprouver que déception et méfiance, au demeurant justifiées : un processus naturel parfaitement efficace aura simplement été trahi par une mise en oeuvre incohérente .

Revenons donc à notre local micro-pollué. Prenons maintenant une source d'électrons (donc d'ions négatifs) assez puissante pour assurer l'enchaînement complet des événements figurant dans le tableau N° XVI :

- dans un premier temps, la forte densité d'ions négatifs injectés dans l'air va entraîner leur capture rapide par les gros ions positifs présents et neutraliser ceux-ci ;

- ces particules neutres, soumises aux forces électriques intenses créées par les charges négatives, acquièrent une "polarisation" entraînant la capture d'un ou plusieurs électrons ; les gros ions négatifs ainsi créés portent alors une charge négative d'autant plus importante que la densité négative environnante est plus élevée (un tel effet a été prévu théoriquement et prouvé expérimentalement (Cf. Bibliographie en fin de texte) par le physicien allemand LADENBURG (publié dès 1930 aux célèbres Annalen der Physik à BERLIN) et le physicien français PAUTHENIER (publié en 1932 aux Comptes Rendus de l'Académie des Sciences...). De plus, toutes les particules présentes, quelles que soient leurs dimensions ou leur nature, acquièrent une telle charge négative ;

- cette charge électrique importante va entraîner une répulsion mutuelle croissante des particules de micropolluants, suffisante alors pour que leur diffusion et précipitation vers le sol du local (chargé en général positivement, cf. tableau N° XV) soit amorcée et se poursuive régulièrement .

A cet effet purement "cinétique" s'ajoute d'ailleurs un second effet tout aussi important sur les aérocontaminants présents, bactéries, virus, etc., effet propre aux seuls ions négatifs : on observe alors que la forte charge électrique acquise par ces germes variés bloque très rapidement leurs échanges indispensables avec l'atmosphère, entraînant ainsi leur mort (effet vérifié par les travaux finlandais et américains dans les années 70 - Cf. Bibliographie) .

C'est à un véritable processus germicide que l'on a donc à faire. Ainsi sera réalisée la double opération dont j'ai énoncé la nécessité :

- ramener le taux des micro-polluants résiduels à celui des lieux naturels les plus salubres,

- restaurer la permanence d'une surcharge négative de l'air identique à celle de ces lieux .

Ce sont là des effets pouvant être qualifiés essentiellement de "physiques", strictement apparentés à ceux que l'on rencontre et observe en milieux naturels extérieurs, loin de toute source intense de micro-pollution .

Leur existence et la qualité des résultats observés, tant en laboratoires d'essais qu'en sites réels d'habitation, suffiraient à en justifier - ou plutôt à en recommander - l'utilisation généralisée.

Mais, ainsi que je l'ai rappelé à la fin du second chapitre, la présence de l'oxygène ionisé dans l'atmosphère est contemporaine de l'apparition de la vie ; celle-ci a dû intégrer ce facteur fondamental et permanent dans son déroulement quotidien et son évolution, en particulier au niveau des échanges respiratoires et cutanés .

On doit donc s'attendre à ce qu'un retour dans une atmosphère bien pourvue en ions (02-) permette l'atténuation, voire la complète disparition, des troubles ou malaises éprouvés en air micro-pollué à charge positive. Ici encore, les résultats observés en sites naturels, mais également les observations faites en milieux clos disposant de la densité négative nécessaire, et pendant un temps suffisant, concordent parfaitement et fournissent des résultats quasiment identiques .

Dans les très nombreuses publications concernant les effets physiologiques des ions oxygène négatifs, un certain nombre de sites d'action sont à peu près unanimement reconnus pour essentiels à la manifestation de ces effets ; ce sont entre autres :

- l'arbre respiratoire au complet,

- le système immunitaire par l'entremise des macrophages (globules blancs dits lymphocytes "tueurs"),

- le système neurovégétatif par l'entremise de la sérotonine et de divers neuromédiateurs .

Non moins importants, mais d'origine plus difficile à déterminer, sont les effets souvent spectaculaires sur :

- la fatigue, sa venue, sa récupération,

- le tonus général, la vigilance, l'aptitude à l'effort, la douleur (brûlures, ulcérations cutanées, mais aussi céphalées rebelles, migraines).

Enfin, de très nombreuses observations (entre autres dans les crèches d’enfants urbaines) confirment, en période d'épidémies hivernales, la protection incontestable apportée par la mise en place et le maintien permanent d’une densité négative élevée.


Une telle protection n'est ni surprenante ni accessoire : elle résulte des deux propriétés fondamentales d'une ionisation négative suffisante de l'air ambiant : l'effet germicide sur les aérocontaminants présents et leur précipitation au sol, mais aussi l'action certaine sur l'organisme, en particulier sur le système immunitaire et les défenses naturelles .

La plupart sinon la totalité des échecs enregistrés, ainsi que l'irrégularité des résultats, demeurent étroitement liés aux caractéristiques des appareils utilisés, aux conditions d'utilisation, et confirment la nécessité absolue d'utiliser des sources parfaitement sûres et de puissance suffisante. Une telle obligation sera d'ailleurs d'autant plus impérieuse que le local à assainir sera de plus grand volume et objet d'une forte micro-pollution, tandis que le nombre, la disposition et les caractéristiques des appareils feront l'objet d'une étude approfondie préalable.


Revenons un instant sur les effets biologiques de notre oxygène négatif : nous savons qu'il est étroitement impliqué dans plusieurs mécanismes physiologiques tout à fait essentiels à notre vie - sinon notre survie - que je rappellerai très brièvement .

Tout d'abord, bien entendu, la respiration ou plus exactement le mécanisme par lequel, au niveau de la "membrane" qui tapisse nos alvéoles pulmonaires, se font les échanges gazeux fondamentaux. C'est là que l'oxygène, apporté par l'air inspiré, gagne le réseau de vaisseaux capillaires environnant et est capté par l'hémoglobine. Dans le même instant, le gaz carbonique quitte cette hémoglobine et le sang des capillaires, traverse la membrane des alvéoles et est évacué vers l'atmosphère. Tout ce processus complexe se déroule en quelques secondes, à chaque inspiration et expiration...

C'est ici que l'oxygène ionisé négativement semble jouer un rôle tout à fait essentiel, en assurant un transit beaucoup plus aisé et rapide des molécules d'oxygène neutre, immensément plus nombreuses, et facilitant par là même le transit inverse du gaz carbonique. Le "rendement" respiratoire s'en trouve accru, de même bien entendu que l'oxygénation du sang et son "épuration".

S'il faut évidemment se garder de dire qu'en l'absence d'oxygène ionisé négativement, nous mourrions asphyxiés, il n'en demeure par moins qu'en cette absence le "rendement respiratoire" est nettement diminué, les échanges amoindris, et que surviennent alors les troubles observés systématiquement dans une telle atmosphère lorsque les personnes concernées présentent un déficit respiratoire .

Le second domaine, dans lequel la molécule (02-) joue un rôle fondamental, est celui de nos défenses immunitaires, en particulier dans la phase essentielle de la destruction d'un corps étranger (bactérie, cellule, etc.) par les "globules blancs" responsables de cette tâche et appelés "macrophages"..

Le troisième domaine, dans lequel nous avons toutes les preuves du rôle essentiel de l'oxygène ionisé négativement, concerne une substance chimique tout à fait fondamentale de notre organisme, véritable molécule "chef d'orchestre" : la sérotonine.

A la fois messager et acteur, cette molécule est partout présente et nous vaut d'ailleurs souvent de sérieux désagréments. Vous lui devez en particulier de sévères et tenaces migraines, sans parler des innombrables problèmes inflammatoires dont nous souffrons toujours peu ou prou. Or de tels désagréments résultent toujours de la présence d'un excès de sérotonine dans notre plasma sanguin et traduisent en fait un véritable "état d'alerte" de notre organisme face à une agression intérieure ou extérieure .

En particulier, une atmosphère surchargée positivement et micro-polluée entretient un excès systématique de sérotonine dans le sang et peut donc entraîner l'apparition de tous les troubles résultant d'un tel excès ; à l'inverse, une atmosphère à charge négative suffisante permet d'observer une véritable régulation du taux de sérotonine, que l'organisme contrôle à nouveau pleinement .

Pour en terminer avec ces exemples concrets, il faut citer un cas où semblent se conjuguer et s'harmoniser les propriétés de cet ion (02-) : celui des plaies cutanées par brûlures ou ulcérations soumises à un flux suffisamment intense d’ions négatifs . Ici, l'observation est aisée, les résultats immédiatement visibles et enregistrables, en particulier par la photographie .

Les résultats observés ici peuvent être réellement qualifiés d'impressionnants, car ils concernent des personnes accidentées (brûlures) ou âgées (ulcérations) pour lesquelles la réalité de l'atteinte ne fait aucun doute. De plus, dans le second cas, les ulcérations remontent souvent à de nombreuses années en arrière et ont atteint un stade évolutif où anti-inflammatoires, antalgiques et autres thérapeutiques sont dépassés, n'ayant plus que peu, voire pas d'effet. A ce stade, des séances quotidiennes d'exposition à l'air ionisé négativement par une source qualifiée permettent d'observer en quelques semaines une amélioration considérable des parties atteintes et - facteur d'importance pour le malade - la disparition quasi complète de toute douleur, permettant de renoncer aux antalgiques en particulier .

Enfin je ne puis m'empêcher de citer un ultime exemple des effets d'une ionisation négative de l'air assurée par un appareillage qualifié : il s'agit de l'asthme infantile, quelle qu'en soit au demeurant la cause réelle ou supposée .

Quiconque a vu et entendu un tout jeune enfant chercher désespérément sa respiration pendant une nuit entière ne peut rester indifférent au problème. Ici encore, l'air chargé négativement, et de ce fait largement débarrassé des aéro-allergènes présents, apporte au petit malade un soulagement qui laisse toujours l'observateur à la fois ravi, soulagé, mais passablement dubitatif . J'ajoute qu'un tel résultat, observé en de multiples occasions et aisément vérifiable, n'est évidemment pas l'apanage des jeunes enfants. Simplement, il est beaucoup plus difficile d'invoquer dans leurs cas un "effet placebo" "de circonstance", tout à fait impossible puisqu'ils sont dans la plus parfaite ignorance des moyens alors mis en oeuvre et même de leur simple existence !


Retenons cependant que de tels résultats ne doivent absolument pas nous autoriser à imaginer ou prétendre faire de l'ionisation négative une panacée, remède à tous les maux venus et à venir ! Elle s'inscrit plus modestement, mais avec ses indications propres et son efficacité incontestable, parmi les meilleurs des moyens que la nature met à notre disposition pour soulager ou prévenir certains de nos maux. Je pense que cela suffit amplement à la justifier !

Et je vais donc m'employer, dans ce qui suit, à montrer comment peut, et surtout comment doit, être mis en oeuvre un tel moyen pour nous apporter ce que nous pouvons en attendre.



3 - L'AERO-IONISATION ACTIVE : QUELLES SOURCES ?


L'on serait bien entendu tenté de répondre : les sources "naturelles", évidemment, si l'on a la chance de vivre de façon permanente en un lieu de parfaite salubrité : clairière de montagne, pied d'une cascade, pentes enneigées...

De tels séjours permanents n'étant réservés qu'à un nombre assez réduit de nos contemporains, il nous faudra bien avoir recours à un “ioniseur” !

Revenons donc à notre problème : trouver la meilleure source possible d'électrons, donc d'ions oxygène négatifs, c'est-à-dire une source offrant le rendement optimum avec le minimum de nuisances et assurant à l'intérieur d'un local donné la concentration d'ions (02-) jugée nécessaire, quels que soient a priori le volume du local et la concentration ionique exigée.

La nature nous offre en pratique quatre sources possibles d'électrons, plus ou moins directement utilisables. Voyons donc si de telles sources ont les caractères requis.

a) Les sources radioactives et le rayonnement U.V.

Ce sont évidemment là - bien que naturelles ! - des sources "à risque" qui, sauf cas très particuliers, ne seront jamais utilisées pour une ionisation habituelle de locaux habités.


b) Les sources "thermo-ioniques"

On nomme ainsi des sources capables d'émettre des électrons lorsqu'elles sont chauffées. Ce que nous appelons "chaleur" n'est autre en effet que le fruit de l'agitation perpétuelle, autour de leur position d'équilibre, de tous les atomes ou molécules de tous les corps existant . Un morceau de fer brûlant, c'est un morceau de fer dont les atomes s'agitent frénétiquement !

Un morceau de glace, c'est de l'eau dont les molécules ont cessé leur agitation jusqu'à leur permettre de s'associer en un solide compact ; dans la glace, comme d'ailleurs dans le fer à l'état solide, atomes et molécules se contentent d'osciller indéfiniment autour de leur position moyenne, sans détruire la structure globale.

Bien... Et les électrons, dans tout cela ? Un peu comme les haricots dans une casserole que l'on secoue : tant que les secousses sont modérées, vous ne perdrez pas de haricots ! Mais si vous augmentez l'agitation (la température du morceau de fer), alors gare aux fuites de haricots, et à la fuite des électrons, que l'agitation croissante des atomes de fer commence à projeter à l'extérieur.

Et, bien entendu, plus vous agitez la casserole, plus vous perdez de haricots : plus la température du morceau de fer croit, plus il émet d'électrons ! Ce phénomène est abondamment mis à profit dans les multiples dispositifs électroniques qui nous entourent et particulièrement dans tous les "tubes" destinés à nous fournir des images : écrans informatiques, téléviseurs, entre autres.

Alors, nous avons la solution ?

Non, malheureusement, et ceci à cause de l'oxygène car un morceau de fer, surtout chauffé, met à la disposition de cet oxygène une véritable manne d'électrons .

Sans même attendre que ceux-ci aient quitté leur atome, les molécules d'oxygène vont se ruer sur les atomes de fer, s'y accrocher grâce aux électrons ainsi prêtés et nous donner du fer “rouillé” !

Cela fait, adieu aux électrons, finie l'émission extérieure, terminée l'ionisation de l'air ! Et ceci est hélas vrai de la quasi-totalité des métaux, rendus ainsi inutilisables dans l'air à titre de “sources chaudes” d'électrons .


c) Les sources "douces"

Deux d'entre elles constituent des sources réellement appréciables d'électrons, donc d'ions oxygène négatifs : les feuilles vertes de tous les végétaux éclairés par la lumière solaire et les gouttes d'eau de la pluie ou des cascades .

L'apport en ions (02-) des végétaux est considérable, non du fait de la puissance de l'émission qui est très faible, mais parce que la quantité de ces végétaux est énorme et qu'ils sont encore largement répandus .

L'apport en ions négatifs dû aux pluies concerne surtout les fortes averses de milieu à fin d'orages et gardent donc un caractère très ponctuel ("pluies négatives").

Et l'apport dû aux cascades, en principe situées en montagne, reste évidemment étroitement localisé au site concerné. Précisons tout de suite que l'utilisation de "cascades" ou équivalent en appartement apporte à l'utilisateur une ambiance tout à fait appréciable, mais hélas fort peu d'ions négatifs utilisables !

Pour essentiels que soient donc l'intérêt et l'apport de ces sources au milieu extérieur, leur usage dans les locaux fermés est évidemment exclu, ou au mieux tout à fait accessoire . Il reste donc un dernier moyen envisageable, celui que la nature met en oeuvre au niveau des feuilles de conifères et des paratonnerres entre autres : c'est "l'effet de pointe" encore appelé "effet Corona".


d) L'effet "de pointe" ou "Corona" (ou "couronne")

Le tableau N° XVII résume l'essentiel de ce phénomène : on va s'efforcer d'accumuler à l'extrémité d'une “pointe" très acérée la plus grande quantité possible d'électrons . La pointe sera évidemment faite d'un métal conducteur particulièrement peu avare de ses électrons (Nickel, Or, etc.) .


Pour obtenir un tel résultat, il faut bien évidemment fournir aux électrons du métal une bonne raison de fuir leur asile. En vérité, le plus simple sera de disposer d'une source extérieure d'électrons, sous la forme d'un générateur à très haute tension, capable de fournir l'énergie d'arrachement aux électrons de la pointe. Poussés, bousculés, entassés vers la pointe, ils seront contraints de sauter dans le "vide" !

C'est exactement ce qui se passe et l'on observe de plus qu'un même générateur de très haute tension (la THT du tableau N° XVII) fournira un nombre d'électrons d'autant plus grand que la pointe est plus "fine" ; nous dirons plus précisément "d'autant plus grand que le rayon de l'extrémité de la pointe est plus faible". De plus, pour une même pointe de même rayon terminal, le nombre d'électrons croît rapidement lorsque la tension appliquée à la pointe augmente.

Il serait alors tentant de dire : "Pour avoir une source intense, plutôt que de s'efforcer de fabriquer des pointes extrêmement fines, fragiles et délicates à utiliser, utilisons des pointes plus rustiques mais robustes, sous une tension plus élevée."

C'est là un nouvel exemple des nuisances qu'entraîne un usage inconsidéré du "bon sens" : il est effectivement facile, donc tentant, d'augmenter la tension appliquée aux pointes et la presque totalité des constructeurs ne s'en prive pas !

L'ennui est que l'un des moyens habituels de fabriquer de l'ozone - vous vous souvenez, cette variété d'oxygène à trois atomes - c'est justement de porter un conducteur, en particulier une pointe “rustique”, à une tension élevée, supérieure en fait à 5000 volts. Un ennui supplémentaire est que la quantité d'ozone produite croît très, très vite, quand on augmente la tension des pointes, entraînant très rapidement pour l'usager un risque grave et évidemment inacceptable .

Et comme un ennui n'arrive jamais seul, un autre problème va également se poser : celui de la création d'un “plasma” de charges, dont la présence réduit fortement le rendement d'émission de la pointe, mais surtout est responsable de la création de l'ozone indésirable !

Qu'est-ce donc encore que ce plasma ?

En ce qui nous concerne, une source d'ennuis supplémentaires, ce qui est aisé à comprendre vu ce qui précède, mais moins aisé à combattre ! Et voici pourquoi.

Si vous revenez au tableau N° XVII, vous y voyez que, par sa nature, ce plasma joue un rôle de frein énergique à l'égard de nouveaux électrons issus de la pointe et a donc tendance à réduire très sensiblement l'émission: installé en avant de la pointe, aucun ventilateur, aussi puissant soit-il, ne parviendra jamais à le déloger, tandis qu'il assurera une large distribution de l'ozone produit!....

Le problème est maintenant clairement posé:

- pour avoir les électrons et l'oxygène ionisé dont nous avons besoin, il faudrait une forte tension appliquée aux pointes, mais l'ozone produit en quantité rendrait l'appareil dangereux et inutilisable ce que prouve immédiatement l'expérience ;

- alors, nous devrions opérer à tension modérée, sans production d'ozone... mais avec un rendement en électrons très diminué et des résultats médiocres ou nuls, en particulier pour ce qui concerne dépollution et décontamination, ce que prouve impitoyablement l'expérience .....


Pour la quasi-totalité (à une exception près) des appareils actuellement commercialisés, la solution adoptée est un compromis entre les deux exigences : on opère entre 6000 et 12000 volts en produisant un taux d'ozone qui prétend respecter... "les normes internationales" , mais qui devient rapidement intolérable pour les usagers, en particulier les tous jeunes enfants et les personnes fragiles ou sensibles .

Il est toutefois intéressant - mais inquiétant - de noter que ces “normes” varient très largement de part et d'autre de l'Atlantique : les normes américaines tolèrent 0, l "partie par Million" (qu'on écrit 0, l ppM) ou encore “100 ppB” (parties par Milliard) d'ozone dans les lieux "destinés à accueillir les personnes" ; les normes russes, plus sévères, tolèrent seulement 0,05 ppM (50 ppB) . Quant à l'O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé), saisie de la pollution croissante due à l'ozone, elle a mis le problème à l'étude en vue d'un abaissement du taux tolérable très en dessous des normes russes .

Ajoutons qu'en France, entre autres, il n'existe pas de norme impérative et que ce vide juridique - largement exploité par les fabricants - ne favorise pas la protection contre l'ozone ....

Ajoutons enfin que le séjour prolongé dans un lieu contenant plus de 0,025 ppM (soit 25 ppB) d’ozone peut entraîner troubles ou accidents plus ou moins sévères pour les individus réputés “sensibles” .... mais aussi pour les autres .

Rappelons encore que l'émission d'ozone est inséparable de la production d'oxydes d'azote, substances très agressives envers les muqueuses de l'arbre respiratoire et de la cornée entre autres . C'est dire une fois encore que les caractéristiques électriques et la nature de la pointe émissive ne suffiront en aucun cas à qualifier un appareillage et qu'il faudra impérativement prendre en compte la globalité du problème. C'est là un pur et simple problème de physique et plus exactement de cette partie tout à fait abstraite et passablement rébarbative que l'on nomme "électrostatique". Courage ! Nous sommes... presque arrivés.


e) DOUZE RÈGLES A RESPECTER ....


Nous voici donc arrivés au bout de nos peines !... Enfin presque au bout !

Car à partir de maintenant, si nous appliquons avec une parfaite rigueur les règles fondamentales que nous propose et nous impose clairement la nature, nous aboutirons sans surprise aux résultats que nous attendons.

Sans surprise mais au prix d’une longue aventure, riche en difficultés et rebondissements !

C'est un peu cette aventure que je vais maintenant vous conter.

Il y aura bientôt trente ans (j'écris ceci en 1999) que j'ai abordé les problèmes de la physique de l'atmosphère et que j'ai appris à quels phénomènes complexes j'allais être confronté. A cette complexité propre s'ajoutant, même s'il n'était pas d'une parfaite évidence, leur impact certain sur les êtres vivant dans cette atmosphère et grâce à elle.

Et pour que la mesure fût comble, j'allais très vite apprendre que ces êtres vivants pouvaient en retour modifier ou perturber les caractéristiques les plus essentielles de l'air dont ils vivaient !

Très vite aussi je constatais l'importance des phénomènes électriques - l'ionisation de l'air - sur l'état et le comportement de ces mêmes vivants . Ceci me conduisait à participer, en laboratoires universitaires, à la direction de plusieurs travaux de recherches biologiques avec un nouveau générateur d'ions négatifs que j'avais conçu.

Sanctionnés par une thèse de doctorat entre autres, ces travaux confirmaient ce que nous savions alors de l'effet des ions des deux signes sur le milieu vivant .

Ces diverses circonstances m'ayant amené à assurer un enseignement universitaire post-doctoral, j'allais être naturellement conduit à élargir le champ d'investigation qui se présentait à moi, en vue d'obtenir si possible une vision complète des phénomènes . Ainsi, au fil des années, des innombrables articles ou documents lus et analysés, des expériences multipliées, des résultats accumulés, allait se constituer la trame solide sur laquelle s'appuient les réalisations dont il sera question dans ce qui suit . Mais avant cela, il faut justement que soient rappelées et précisées certaines règles, celles précisément qui se sont dégagées de cette longue étude et se sont naturellement imposées .

L'expérience n'a plus cessé de prouver qu'elles doivent être très strictement respectées pour que les appareillages mis en oeuvre nous assurent sans faille efficacité et innocuité .

Voici donc ces règles, qui ne font d'ailleurs que résumer tout ce qui a été dit au long de ces lignes.

1 - Le dispositif devra agir en permanence sur l'ensemble du volume d'air contenu dans un local donné, afin d'agir au même instant sur l'ensemble des micropolluants et charges présents .

2 - Le dispositif devra agir sur la totalité des catégories de micropolluants et contaminants présents ("spectre granulométrique"), s'étendant en fait de quelques micromètres (limites des plus grosses particules en suspension) à quelques millièmes de micromètres (virus, agrégats de "grosses" molécules, etc.) .

3 - Le dispositif sera, quelle que soit sa puissance, d'une totale innocuité (émission d'ozone et d'oxydes d'azote au plus égale à celle des lieux naturels les plus salubres), autorisant ainsi son emploi permanent en tous lieux clos et auprès de personnes sensibles ou fragiles en particulier.

4 - Le dispositif devra restaurer et maintenir l'équilibre électrique de l'atmosphère d'un local conformément à celui d'une atmosphère naturelle salubre, quelles que soient les dimensions, la structure, le contenu et les conditions d'utilisation du local .

5 - Le dispositif sera aisément adaptable à la structure et aux conditions d'utilisation d'un local, quelles qu'en soient les dimensions ou la destination .

6 - Le dispositif assurera un fonctionnement permanent au prix d'une faible consommation d'énergie rendant son coût d'exploitation modique .

7 - Le dispositif sera de coûts d'acquisition et d'utilisation suffisamment faibles pour en permettre l'installation en tous lieux où il sera nécessaire ou justifié .

8 - Le dispositif sera d'utilisation courante simple et aisée .

9 - Le dispositif aura une longue durée d'utilisation permanente (3 à 5 ans sans intervention), ainsi qu'un entretien simple et réduit .

10 - Le dispositif exclura tous accessoires (ventilateurs, turbines, etc.) inutiles et coûteux .

11 - Le dispositif sera silencieux, afin de pouvoir fonctionner en tous lieux de travail ou de repos, auprès de personnes sensibles ou de malades .

12 - Le dispositif pourra fonctionner normalement en atmosphère agressive sans risque de détérioration ou de danger pour l'utilisateur .


Le première conclusion qui se dégageait de cet énoncé était la quasi-obligation d'avoir recours à des moyens électriques, seuls capables de satisfaire totalement aux règles N° 1, 2 et 4 et d'apporter la meilleure solution aux neuf autres. Ces moyens électriques consisteraient alors, compte tenu de tout ce qui précède, en une (ou des) source d'ions négatifs oxygène à "effet de pointe".

Restait à préciser exactement ce que serait en pratique une telle source et les exigences qu'elle devrait satisfaire.

Il allait falloir douze années de travail pour disposer de la réponse, sous la forme d'un appareil nouveau et de ses versions successivement améliorées, répondant effectivement à toutes les conditions imposées.

Soumis à la longue torture des essais et contrôles en laboratoire, puis aux mêmes épreuves en sites réels de toutes natures et de toutes dimensions, le nouvel appareil apportait finalement la preuve que l’obstination du physicien - certains diraient ses marottes - sont et resteront toujours une chose indispensable !

Il apportait également la preuve que, contrairement à des affirmations trop souvent entendues, il n'y avait aucune contradiction entre les règles énoncées, la conséquence essentielle étant l'ouverture d'un champ d'applications considérable à une technique restée jusqu'ici très confinée et très contestée.

De tout ceci, il résulte que ce qui va suivre, qui concerne toutes les utilisations pratiques de l'aéro-ionisation, fait bien entendu exclusivement référence à l'appareillage nouveau que je viens d'évoquer.

Ses caractéristiques permettent donc de prévoir et d’arrêter ces conditions d'utilisation dans le cadre strict des " 12 règles".

Bien entendu, tout appareillage similaire à venir, qui répondrait de manière certaine et prouvée aux mêmes critères, serait utilisable dans ces mêmes conditions et devrait donc conduire aux mêmes résultats .


Souvenez-vous : dans la nature, les mêmes causes n'ont jamais cessé de produire les mêmes effets.





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